TDM #25 Cambodge en cinq jours

Bien que nous ayons habité la région du Sud-Est asiatique pendant plusieurs années, nous n’étions jamais allé visiter le célèbre site archéologique d'Angkor. Nous ne pouvions pas quitter l'Asie sans auparavant avoir crapahuté dans les temples Khmers, tels des Indiana Jones des temps modernes. Voici en 5 photos du jour de notre TDM, un condensé de ce que nous avons pu voir.

Bien entendu, nous venions pour admirer Angkor Wat, le plus célèbre des temples, et pouvoir prendre ce cliché non moins célèbre devant le miroir d'eau. 

Les temples d'Angkor peuvent être présentés par certaines personnes comme "des tas de pierres" se ressemblant tous, il se trouve que plusieurs temples ont des caractéristiques propres. C'est le cas de Ta Prohm qui a la particularité d'avoir été conservé en l’état depuis la découverte des temples. C'est pour cela qu'aujourd'hui encore on peut y voir d'imposantes racines, confortablement apposées sur les temples en ruine.

Il est courant de voir des panneaux de circulation annonçant des animaux à proximité d'un lieu, voire des sorties de camion en raison de travaux. Au Cambodge, on en a pour les sorties d’éléphants. Et le mieux, c'est qu'on en croise sur la route, des éléphants !

Si le tuk-tuk est omniprésent au Cambodge, la bicyclette reste un moyen de transport indétrônable sur les routes du pays. Silencieuse (à part les éventuels couic-couic des frottements), bon marché (ou plutôt bon roulé !), écologique et économique, c'est le moyen de transport durable par excellence. Et c'est aussi une option à favoriser pour visiter les temples, si votre condition physique vous le permet.

Petit clin d’œil à nos origines singapouriennes avec la fameuse tournure "also can" autrement dit "on peut aussi", selon le contexte. Nous sommes passés devant cette échoppe à Siem Reap qui proposait des massages des pieds, faits par les poissons. Cela consiste à se débarrasser des cellules mortes en les laissant vous dévorer les pieds et les mollets. Et oui, les poissons aussi peuvent faire de bons massages.

Rien de tel que de dépoussiérer YouTube en ressortant un morceau de circonstance, chanté par le grand Yves Montand en 1968.