samedi 6 octobre 2012

Photo 142 - God we trust, all other we audit!


Traduction en image du proverbe "la confiance n'exclut pas le contrôle", nous avons croisé un contrôleur de bus de la SMRT, la compagnie de transport de la ville. Ce fut la première fois après bientôt deux années passées sur le sol singapourien. Même si la fraude semble inconcevable, il est possible de ne pas "pointer" au moment d'entrer dans le bus ou bien de passer sa carte quelques arrêts avant de descendre. Pourtant les chauffeurs veillent au grain et n'hésitent pas à moudre si le mélodieux "bip" de la carte EZLink ne retentit pas. Comme expliqué précédemment, les transports en commun se payent à la distance par ici. Autre remarque, c'est un grand-père de plus de soixante ans qui contrôlait le bus. Quand pourra-t-on imaginer pareille situation en France dans les grandes villes ?

2 commentaires:

  1. Bonjour,

    cela fait 2 mois que je suis à Singapour et ça m'est arrivé une fois de voir un contrôleur. Tranquille, sa petite routine à surveiller les cartes des voyageurs. Je me demande comment ça se passe si on est en fraude !

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    1. Bonjour Claire,

      Justement, un article vient de paraître hier sur Today Online et il traite de cela. Une fraude en cas de non respect des prix (ne pas valider ou valider un trajet plus court) coûte 20$ et utiliser frauduleusement un titre de transport (réduction personnes âgées?) coûte 50$. Le fraudeur a 14 jours pour payer, sous peine de traduction en justice avec une responsabilité à hauteur de 1,000$. Pour être complet, environ 7,000 personnes ont été contrôlées en situation de fraude l'an dernier.
      Plus d'info sur http://www.todayonline.com/Singapore/EDC121011-0000029/More-transport-fare-evaders-caught

      Clément

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