Des vacances en Asie sans passer par Bali, c'est comme des laksa sans chili, du chicken rice sans la peau croustillante du poulet, des singapouriens sans le "Singlish", bref c'est impossible. C'était de toute façon un passage obligé, inscrit dans les closes du voyage à Singapour de ma maman. Bali, ses temples, ses plages, ses danses, c'est bien. Bali au mois d’août, ce n'était peut être pas le meilleur timing mais les vacances scolaires françaises ne laissent pas beaucoup de choix. Et puis, c'est aussi l'occasion de rencontrer des compatriotes loin de notre chère métropole, et cela n'a pas de prix.
Nous avons donc vu des temples, tellement que je pense pouvoir désormais envisager sereinement une carrière d'architecte balinais. Il faut dire que chaque bout de terre est une occasion de prier les dieux et qu'il y en a tellement que l'on pourrait presque résumer cette île à ses temples. L'autre moment incontournable de Bali est le rituel des offrandes que les femmes font généralement pour toute la famille. Les offrandes, une sorte de rançon demandées quotidiennement par les dieux, quel que soit l'âge de la personne ou son activité.
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Préparation des offrandes |
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Offrandes, comme s'il en pleuvait |
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Connexion |
Il y aurait tellement de choses à dire et j'ai tellement de retard, que je suis dans l'obligation de laisser libre court à votre imagination avec comme source d'inspiration quelques photographies. Bali, c'est d'la balle comme diraient les d'jeun's; et la version locale: "Bali full of Bulés*, but Bali beautiful".
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Arbre sacré |
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Les femmes du Village |
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Crémation (de dos) |
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Ma cabane au fond du jardin |
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Veinards |
* Bule veut dire "blancs" ou albino en Indonésiens. Cela se prononce "Boulé" et vous l'entendez souvent dans les discussions des cafés du coin
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