dimanche 18 mars 2018

TDM 08 Easter Island - Les surprises de l'île de Pâques (3/3)


Que serait la narration d'un pays sans la traditionnelle catégorie des bonus, rebaptisée surprises de l’île d’œufs de Pâques à l'occasion. Bien que nous ayons séjourné moins d'une semaine sur ce tout petit bout de terre, beaucoup d'images sont au menu.

lundi 27 novembre 2017

TDM 08 Easter Island - Danses traditionnelles, ballet aquatique et paysages féeriques (2/3)


En seulement cinq jours sur l’île nous en avons vu des choses. Et cela valait bien un article sur au moins trois des activités auxquelles nous avons pris part parmi lesquelles le spectacle des danses ancestrales polynésiennes, la découverte des fonds marins, et enfin l’émerveillement devant les inénarrables paysages.

dimanche 4 juin 2017

TDM 08 Easter Island - Il n'y a que moaï qui m'aille (1/3)


Un tour du monde ne serait pas vraiment un tour du monde sans visiter des destinations exotiques. L'Inde, le Laos, l'Australie, la Nouvelle-Calédonie sont des endroits atypiques, mais pas autant que Rapa Nui, l’île de Pâques, une île microscopique de la taille du Liechtenstein, perdue à des milliers de kilomètres au beau milieu de  nulle part dans l’océan Pacifique. L'île doit son nom au navigateur Hollandais Jakob Roggeveen qui y accosta avec trois navires au cours d'une expédition le dimanche de Pâques en 1722, et dans une inspiration géniale l’appela Paasch-Eyland (île de Pâques). Passant par l'Australie, puis par les territoires français du Pacifique, Rapa Nui se trouvait sur notre chemin pour nous rendre en Amérique du Sud. Cela aurait été dommage de passer si près sans s’arrêter pour voir les moaï. Nous vous emmenons à la découverte d'une civilisation pleine de mystères, qui pour beaucoup sont encore inexpliqués.

lundi 13 février 2017

Photo 165 - Miss you, old chap


Il était mon fidèle destrier, ma monture italienne, mon Aprilia Scarabeo, mon compagnon de route. Qu'il pleuve, qu'il neige (enfin, quand nous passions devant les malls sur-climatisés aux températures polaires), qu'il vente, nous bravions les intempéries sur les routes de Singapour. Jamais je n'ai autant désiré une italienne. La vie de piéton n'est certainement pas aussi douce que celle de motard, même si les risques liés à l'utilisation de ce moyen de transport sont élevés. J'ai beau être fan de montées d’adrénaline, je me serais bien passé de certaines frayeurs sur la route. Toujours est-il qu'aujourd'hui il me manque, et que je n'ai qu'une idée en tête, reprendre le guidon au plus vite pour pouvoir de nouveau parcourir la ville, les cheveux au vent sous mon casque intégral.